Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

de gaulle - Page 3

  • Quand Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2019

    Alors que la gauche s’en prend à la dépouille du sauveur de l’Espagne, rappelons cet épisode peu connu où Franco fit preuve d’une courageuse bienveillance envers les Français, en s’opposant courageusement à De Gaulle qui préférait qu’ils soient livrés à la barbarie du FLN. Quelques jours après, dans la même ville d’Oran, c’était le massacre (voir ici).

    Texte de José Castano :

    « Les 29 et 30 juin 1962, l’Espagne du général Franco vint au secours des Oranais malmenés par les sbires du général Katz, en affrétant 2 ferrys, le « Victoria »  et le « Virgen de Africa »

    Pour accoster le long des quais d’Oran, il fallut longuement parlementer avec les autorités françaises réticentes et même donner à la France un ultimatum, risquant un grave incident diplomatique…

    Le 30 juin, à 10 h du matin, malgré l’opposition de De Gaulle, le général Franco donna l’ordre à ses capitaines d’embarquer cette « misère humaine » qui attendait depuis des jours sous un soleil torride, sans la moindre assistance, un hypothétique embarquement vers la France.

    Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pauvres gens sans défense, abandonnés sur les quais d’Oran et menacés d’être exécutés à tout moment par les barbares du FLN. Joignant le geste à la parole, il ordonna à son aviation et sa marine de guerre de faire immédiatement route vers Oran.

    Finalement, face à la détermination du général Franco et craignant un conflit armé, de Gaulle céda et le samedi 30 juin, à 13 h, deux ferrys espagnols accostèrent et embarquèrent 2 200 passagers hagards, 85 voitures et un camion.

    Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent, cependant, s’opposer à la montée d’une compagnie de CRS sur leur bateau (propriété de l’Espagne) dans le but de lister tous les passagers et interpeller les membres de l’OAS fichés.

    Ces capitaines expliqueront n’avoir jamais compris l’attitude arrogante et inhumaine des autorités françaises dans une situation aussi dramatique qui relevait essentiellement d’« assistance à personne en danger de mort »…

    Contre vents et marées, finalement, à 15 h 30, les quais d’Oran, noirs de monde se vidèrent et les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge, à destination du port d’Alicante.

    Durant toute la traversée, se mêlèrent les larmes de détresse, de chagrin… et de joie de ces pauvres gens en route vers leur nouvel exil, conscients d’avoir échappé au pire… Quand, enfin, la côte espagnole fut en vue, une liesse générale s’empara de ces « réfugiés » qui s’époumonèrent à crier avec des sanglots dans la voix « Viva España ! » … « Viva Franco ! ». Ils avaient, pour bon nombre d’entre eux, échappé à une mort programmée par les autorités françaises. Jamais ils ne l’oublieront !

    En mémoire de Jean LOPEZ, coiffeur à Aïn-El-Turck (Oran) qui devait assurer mon embarquement et mon accompagnement jusqu’en Métropole (j’avais 15 ans). Jean fut enlevé précisément au port d’Oran par des ATO (auxiliaires de police du FLN). On ne le revit jamais…

    A sa veuve et à ses deux filles, avec toute mon affection. »

     

    Source : contre-info

  • Le rétablissement de la Franc-Maçonnerie par de Gaulle

    Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2019

    Le rétablissement de la Franc-Maçonnerie par de Gaulle

    À quelques jours de distance, le Grand-Maître du Grand-Orient, Fred Zeller et celui de la Grande Loge, Richard Dupuy, aient fait quelques confidences à un journal d’un caractère assez particulier et confidentiel : Europe-Parlement, destiné à la « classe politique ».

    Un aveu du Grand-Maître du Grand-Orient doit d’abord retenir notre attention :
    « C’est le général De Gaulle, dit-il, c’est lui qui nous a rendu force et vigueur ». [de Gaulle] a dit « Je vais redonner la République à la France et il n’y a aucune raison que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons » [Déclaration faite à Alger en 1943 citée dans son livre « Trois points, c’est tout » (1)].
    Sous la Ve République le Grand-Orient disposait de 150 affiliés à l’Assemblée nationale et au Sénat, contre 350 sous la IIIe République. Pourquoi cette déperdition ? : parce que l’Ordre maçonnique a été « dissous, persécuté, déporté »…cela leur avait infligé « vingt ans de retard » [selon les propres termes de Fred Zeller].

    Ainsi, la dissolution de la Franc-Maçonnerie en 1940, par le gouvernement du maréchal Pétain, avait porté un coup sévère à la Maçonnerie, ce qui prouve que l’on peut bel et bien briser cet État dans l’État. (2)

     

    Source : francenationaliste

    (1) Philippe Ploncard d’Assac, La Politique (Abonnement).

    (2) Jacques Ploncard d’Assac, Le secret des Francs-Maçons.

  • Ils ont dessoudé De Gaulle

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2019

    Auteur : Michel Janva

    Ils ont dessoudé De Gaulle

    Il n’ont pas  de reconnaissance envers celui qui a livré l’Algérie aux terroristes du FLN… Vendredi, à quelques minutes du coup de sifflet final du dernier match de la Coupe d’Afrique des Nations, opposant l’Algérie – vainqueur – au Sénégal, une centaine de supporters de football ont envahi le centre-ville d’Evreux, sur la place du Général de Gaulle fraîchement rénovée. Malgré une forte présence policière, la statue du Général de Gaulle, scellée et inaugurée le 18 juina été dessoudée.

     

    Source : lesalonbeige

  • 26 mars 1962 : Le jour où De Gaulle ordonne d’assassiner des Français

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2019

    PUBLIÉ PAR MANUEL GOMEZ LE 25 MARS 2019 

    Depuis que le président de la République, le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur ont pris la décision de faire appel à l’armée française afin d’assurer la sécurité de certains bâtiments officiels, de nombreux « soi-disant » historiens, éditorialistes et journalistes nous apportent « leurs précisions » sur « La dernière fois que l’armée a tiré sur la population française, en France ».

    Bien entendu il n’est pas question de signaler les quelquefois où les forces armées de sécurité se sont trouvées devant l’obligation de tirer sur des émeutiers armés, des terroristes, qui les attaquaient, notamment dans les TOM (Territoires d’Outre-Mer).

    Mais la dernière fois où l’armée française a reçu l’ordre de tirer, en France, sur une population française qui défilait pacifiquement et sans armes, c’est le :

    26 mars 1962 : Le jour où De Gaulle ordonne d’assassiner des Français

    De Gaulle voulait absolument rejeter toute la responsabilité du non-respect des «Accords d’Evian» sur l’action de l’OAS et pour cela il a recouru à la force des armes et fait ouvrir le feu sur une population désarmée qui ne souhaitait que rester française.

    Le 26 mars 1962, une manifestation pacifique partait du Boulevard Lafferrière pour se diriger par la rue d’Isly vers le quartier de Bab-el-Oued, objet d’un blocus par les forces de l’ordre (CRS et Gendarmes).

    Leurs seules armes étaient de l’alimentation, du pain, du lait, de l’eau.

    Interdits d’aller plus avant, les manifestants étaient bloqués sur la place, entre le lycée Bugeaud et la caserne Pélissier.

    Ils rebroussaient alors chemin, toujours pacifiquement, pour revenir sur le plateau des Glières. Bien entendu personne n’était armée, cela était absolument impossible compte tenu de l’état de siège dans lequel se trouvait Alger.

    Le rassemblement atteignait la Grande Poste lorsqu’une rafale partait d’un fusil mitrailleur mis en batterie au dernier étage du 64 de la rue d’Isly.

    Une deuxième rafale meurtrière déchaînait l’enfer.

    Les tirailleurs algériens complètement affolés tiraient sur tout ce qui bougeait : vers les toits, sur la foule, ce fut une tuerie. Des tirs sans sommation qui ont duré près de douze minutes.

    Le bilan officiel sera de 46 morts et 200 blessés, mais le bilan réel (je l’ai constaté personnellement en me rendant à la morgue de l’hôpital de Mustapha, où les corps étaient empilés à même le sol, nus, et ne seront pas rendus à leur famille) d’environ 80 tués.

    Chez les tirailleurs il n’y eut que dix blessés, victimes de balles perdues, et un seul mort, (abattu par un officier alors qu’il tentait d’achever une femme blessée étendue sur la chaussée).

    Un second rapport militaire fera état d’une centaine de morts et de plus de 200 blessés.

    La vérité « officielle » sur ce massacre programmé n’est toujours pas reconnue par les différents gouvernements français et il serait étonnant qu’elle le soit un jour.

    Une certitude, ce massacre de la rue d’Isly et, par conséquent l’objectif de cette manœuvre, était la fracture totale entre les Français d’Algérie et l’armée métropolitaine, promise dorénavant au service de l’ALN. De Gaulle avait atteint son but.

    **La preuve directe de l’organisation par le gouvernement français, donc par De Gaulle en personne, du massacre des innocents le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger nous est apportée par CHRISTIAN FOUCHET qui, rappelons-le, était Haut-commissaire en Algérie ce 26 mars 1962, et ministre de l’intérieur du 6 avril 1967 jusqu’au 31 mai 1968 où il est limogé par De Gaulle.

    Voici le témoignage et l’aveu de CHRISTIAN FOUCHET le 28 octobre 1969 : 

    J’en ai voulu au général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique. De GAULLE m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre en mai 68.

    « Vous n’avez pas osé tirer », m’a-t-il dit.

    « J’aurais osé s’il l’avait fallut » – lui ai-je répondu – « Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là j’ai osé et je ne le regrette pas parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise. »

    Jean Mauriac « L’Après De Gaulle – notes confidentielles 1969/1989 – page 41

    Ce même mois de mai 68, De Gaulle lançait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : 

    Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français.

    Rapporté par Edouard Balladur à Daniel Rondeau, auteur de « Vingt-ans et plus – journal 1991/2012

    D’ailleurs, toujours en mai 1968, lors de « sa fuite » à Baden-Baden, De Gaulle avait « demandé » au général Massu de préparer son régiment à intervenir à Paris afin d’en finir avec « les émeutiers » et les syndicats. Ce que Massu a refusé énergiquement, connaissant De Gaulle mieux que quiconque.

    Dès le cessez le feu proclamé le 19 mars 1962, l’armée française, sur les ordres de De Gaulle et de quelques officiers supérieurs, les généraux Katz, Debrosse et Ailleret, a perdu son honneur car elle n’a pas éprouvé le moindre état d’âme quand il a fallu tirer sur des français qui défendaient une terre française à Alger et ne s’est pas opposée au massacre, par l’ALN, de près de 3000 français à Oran.

    Honneur aux officiers de notre armée qui ne se sont pas parjurés.

    Le général de Pouilly, un fidèle parmi les fidèles à De Gaulle, n’hésitera pas à écrire

    J’ai choisi la discipline mais choisissant la discipline, j’ai également choisi avec mes concitoyens et la Nation Française la honte d’un abandon et, pour ceux qui n’ayant pas supporté cette honte et se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira peut-être que leur crime est moins grand que le nôtre.

     

    Source : dreuz.info

     © Manuel Gomez pour Dreuz.info.